La première mobilité du projet Comenius « Generations in Europe between the past and the future » s’est déroulée en France, au LP2I, du 18 au 22 novembre 2014.
Les délégations allemande et suédoise sont arrivées le lundi 18 novembre et nous avons commencé à travailler sur le projet le lendemain.
Les projets liés à cette mobilité étaient l’élaboration d’une émission de radio présentant le projet, les établissements scolaires et les régions d’où venaient les participants : l’Allemagne, la Suède et la France.
Parallèlement, des ateliers sur la démographie et sur la communication ont été réalisés. Il y a eu également un cours de français langue étrangère à destination des élèves allemands et suédois animé par les élèves français, afin de leur procurer un "kit de survie" pour se débrouiller dans les familles françaises chez qui ils logeaient.
Le mercredi 20 Novembre, nous avons présenté nos enquêtes et élaboré un questionnaire afin de produire une vidéo à présenter par chaque pays lors de la prochaine mobilité qui devait se dérouler en Suède. Puis nous avons enregistré l’émission de radio préparée la veille. L’après-midi, les élèves français ont emmené leurs camarades étrangers en centre ville de Poitiers, afin de leur faire découvrir cette ville et ses avantages (restaurants, boutiques...).
Le jeudi 21, au matin, nous avons visité le Château de Chenonceau, qui est l’un des plus grands châteaux de la Loire. Cette visite mettait en lumière l’évolution du château en fonction de ses propriétaires successifs et de l’histoire.
- Château de Chenonceau - Jardins de Catherine de Medicis
L’après-midi, nous avons enchaîné avec un pique-nique musical à la gare de Tours. Après cela, les professeurs nous ont proposé de faire un jeu consistant à retrouver dans le paysage urbain du centre historique de Tours des bâtiments figurant sur des photographies anciennes dans le but de constater leur évolution. Nous sommes finalement rentrés après une journée passée sous la pluie.
- Tours
Les délégations sont parties le vendredi 22 novembre au matin, pour le plus grand malheur des élèves français.
Article rédigé par Yasser, Lisa et Maëlle.
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