Nos derniers jours de voyage auront été contrastés. Du soleil et des petites rues tranquilles de Valence, nous sommes passés à la pluie incessante et aux grandes artères barcelonaises, avant de revenir sous un soleil radieux à notre bon vieux mais innovant lycée.
Vous trouverez ci-dessous la poursuite de notre résumé photographique. Mais vous pourrez surtout retrouver nos productions dans les semaines et mois qui viennent sur le site Avenida del Futuro, sur le site de la Première Presse Culturelle et bien entendu sur le tout jeune journal en ligne du lycée, Le Pilote, à ajouter d’urgence à vos liens préférés.
Visite de l’Institut valencien d’art moderne (IVAM)
Croquis, esquisses, et découvertes d’artistes divers comme Julio González ou Natividad Navalón (voir photo ci-dessous).
Ateliers urbains
Ecriture à partir de consignes précises, comme observer les personnes qui nous entourent pour en retenir une caractéristique, noter tous les mots lisibles sur une petite place et jouer avec eux, ou encore trouver l’endroit où la ville est née et raconter l’histoire de cette naissance.
Visite du Museo fallero
Les Fallas, ces célèbres fêtes valenciennes durant lesquelles des personnages de cartons sont promenés puis brûlés, ont leur musée.
Visite du Museo del Arroz
Culture incontournable de l’économie et de l’industrie valencienne, le riz n’a plus de secret pour certains d’entre nous...
Coopérative d’agrumes
Comment les oranges sont-elles cultivées puis triées, traitées et transportées ? Pour le savoir, il suffisait de se rendre dans une coopérative d’agrumes et de suivre le guide en tendant l’oreille pour couvrir le bruit des machines.
Rencontre avec Alfons Cervera
Temps fort du voyage, la rencontre avec l’auteur de Maquis aura duré une heure et demie, beaucoup de questions posées et des réponses qui nous auront permis de mieux comprendre la relation entre l’Espagne et son histoire, entre littérature et mémoire.
Barcelone sous la pluie
Peu d’images de cette grise journée, juste quelques couleurs sauvées du Park Güell avant que le déluge ne s’abatte sur nous. Pas de pluie, non, des larmes versées par la soleil trop triste de nous voir partir.
LP2i humain, version espagnole
Pendant que l’ACF Arabesque préparait sa performance au lycée (voir l’article publié par Le Pilote), nous avons improvisé une version espagnole de ce sigle humain.